Lucie travaille au sous-sol?
Non, elle n'y travaille jamais.
Je n'ai pas encore fait de projets de vacances. (penser)
Il faut y penser
Il y a vingt élèves dans cette classe, n'est-ce pas? (32)
Non, il y'en a 32.
Est-ce que la ville se vante de ses musées?
Oui, la ville s'en vante.
Chantal et Odile competent-elles suivre des cours de chimie?
Elles en ont déjà suivi.
Maurice et François étudient à la terrase du café du coin?
Non, ils n'y etuident jamais
Je suis inquiète au sujet de mon avenir. (réfléchir)
Il faut y réfléchir
Stéphane gagne mille cinq francs par semaine, n'est-ce pas? (2100)
Non, elle en gagne deux mille cent
Est-ce que les magasins regorgent de vêtements de luxe?
Oui, les magasins en regorgent.
L'étudiant va-t-il se plaindre de ses classes?
Il s'en est déjà plaint.
Ton petit ami attend devant le cinéma?
Non, il n'y attend jamais.
On dit que les rues de cette ville sont dangereuses la nuit. (prendre garde)
Il faut y prendre garde.
Vous avez cent vingt pages à lire, n'est-ce pas? (250)
Non, je en lire deux cent cinquante?
Est-ce que les rues sont pleines de promeneurs?
Oui, les rues en sont pleines.
Est-ce que Bernard va être accablé de travail?
Il en a déjà été accablé.
Vos parents passent leurs vacances au bord de la mer?
Non, mes parents ne les y passent jamais.
Notre plan ne pourra pas réussi. (renoncer)
Il faut y renoncer
Nous avons parcouru (covered, traveled) quatre cents kilomètres, n'est-ce pas? (300)
Non, nous en avons trois cent.
Est-ce qu'il faut se soucier de sa sécurité personelle?
Oui, il faut s'en soucier.
Est-ce que Mme Martel va jouer du piano?
Elle en a déjà joué.
Les enfants jouent derrière l'immeuble?
Non, ils n'y jouent jamais.
Cette matière m'ennuie. C'est pour ça que mes notes sont mauvaises. (s'intéresser)
Il faut s'y intéresser.
Tu as eu soixante-dix dollars d'amende (fine), n'est-ce pas? (90)
Non, j'en ai quatre vingt dix.
Est-ce que vous vous méfiez de la ville la nuit?
Oui, je m'en méfie la nuit.
Est-ce que Michel compte faire du japonais?
Il en a déjà fait.