Personnage et lieux
Historique & contexte autochtone
Thèmes majeurs
Citation & langue
Autres
100


  • Qui sont les trois adolescents envoyés au pensionnat ?



  • → Réponse : Virginie, Marie et Thomas (ou Charles selon édition).  


100


  • Que représente l'internat dans le roman pour les adolescents autochtones ?



  • → Réponse : une institution où ils sont retenus, arrachés à leur famille, dans le but de les assimiler. 


100


  • Quel thème central dépasse l'histoire individuelle (enfants, pensionnat) ?



  • → Réponse : la mémoire, la perte, la résilience.


100


  • Quel mot autochtone ou innu apparaît dans le roman ou est mentionné dans les revues ?



  • Réponse : Kuei un mot de bienvenue en innu) 


100


  • Qui sont les survivants que l'avocat cherche à retrouver ?



  • → Réponse : les enfants du pensionnat, jadis envoyés.


200


  • Quel est le nom de l'avocat qui, plusieurs décennies plus tard, enquête sur ce qui s'est passé ?



  • → Réponse : Audrey Duval.  


200


  • Qu'est-ce qu'ils interdisaient aux enfants au pensionnat ?



  • → Réponse : parler leur langue, conserver leur nom, garder leurs coutumes.  


200


  • Comment l'amitié ou l'amour apparaissent-ils dans le roman malgré les conditions difficiles ?



  • → Réponse : l'amitié entre les adolescents sert de rempart, d'appui. 


200


  • Pourquoi la langue autochtone était-elle interdite au pensionnat selon le récit ?



  • → Réponse : pour effacer l'identité culturelle, assimiler les enfants. 


200


  • Quelle est la durée entre les événements-pensionnat et l'enquête ?



  • → Réponse : environ 70 à 77 ans plus tard


300


  • Quel est le lieu (pensionnat) vers lequel les adolescents sont envoyés ?



  • → Réponse : Le pensionnat de Fort George, sur une île dans la Baie d'Hudson/James.  


300


  • Donner une conséquence à long terme de ces pensionnats sur les communautés autochtones (comme illustré dans le livre).



  • → Réponse-type : traumatisme inter-générationnel, perte culturelle, difficulté à se souvenir de la vie d'avant.  


300


  • Quel symbole géographique ou naturel est utilisé pour évoquer la survie ou le lien au territoire ?



  • Réponse: (ex : l'île, le vent, le territoire innu) …


300


  • Quelle est l'importance de nommer / renommer dans le roman (ex : le fait de devenir numéro) ?



  • → Réponse : la perte d'identité, l'effacement de la personne.  


300


  • En quoi l'histoire du roman contribue-t-elle à la mémoire collective des peuples autochtones ?



  • Type de réponse : elle met en lumière un chapitre souvent ignoré, donne une voix aux enfants, rappelle qu'il faut se souvenir.


400


  • Quel est le territoire d'origine des adolescents ?


Réponse: ils sont innus

400


  • Dans quelle décennie commencent les événements importants pour les adolescents dans le roman ?



  • Réponse : années 1930-1936


400


  • En quoi le roman parle-t-il de justice ou de reconnaissance pour les survivants ?



  • → Réponse : l'avocat enquête, l'accord gouvernemental pour indemniser est mentionné. 


400


  • Choisir une citation qui illustre le lien au territoire ou au « vent » comme métaphore dans le roman.



  • Réponse à compléter


400


  • Quelle est la signification du « vent » dans le titre ou dans l'imaginaire du roman ?



  • Réponse : le vent comme mémoire, comme souffle qui raconte encore ce qui a été tu.


500


  • Nommer un autre lieu ou une communauté autochtone mentionnée dans le roman.


Réponse: Montréal- 

500


  • Nommer une politique ou une idée-force de l'assimilation utilisée contre les peuples autochtones (selon le contexte du livre)



  • Réponse à adaptateur (ex : « Kill the Indian in the Indian child » comme mentionné dans critique)


500
  • Quelle est la portée universelle de ce récit pour les lecteurs non autochtones ?


  • Il sensibilise à une injustice historique et à ses conséquences encore présentes aujourd’hui.

  • Il rappelle que la perte d’identité et de culture touche l’humanité entière.

  • Il invite à écouter et à reconnaître des voix longtemps réduites au silence.

500

Dans le roman, pourquoi le fait d’entendre le vent est-il symbolique pour les personnages autochtones ?


Réponse :

Parce que le vent représente la mémoire, la voix des ancêtres et le lien avec leur culture, même quand on essaie de leur enlever leur langue et leur identité.


500


  • Quel lien fais-tu entre ce roman et une actualité ou un fait historique réel concernant les pensionnats autochtones ?



  • → Réponse:

  • Il fait écho aux excuses officielles du gouvernement canadien envers les peuples autochtones.

  • Il est en lien avec les commissions de vérité et réconciliation.

  • Il reflète des réalités historiques documentées, comme l’assimilation forcée et la perte de langue.

  • Il rejoint les discussions actuelles sur la reconnaissance et la réconciliation.

M
e
n
u