VIE
Aviez-vous des frères et sœurs ?
Oui, j’avais des frères et des sœurs. J’étais le troisième de cinq enfants, et mes frères s’appelaient Xavier, Jacques et Pierre de Gaulle.
Quelles contributions avez-vous apportées à l’enseignement ou à l’apprentissage en général ?
J’ai laissé derrière moi quelque chose de plus précieux que des manuels : une vision. J’ai inspiré une conception du leadership, de la souveraineté et de la dignité nationale. Mes discours sont des leçons d’éthique politique plutôt que de simples discours rhétoriques.
As-tu reçu une quelconque reconnaissance académique ?
Je n'étais pas un universitaire au sens classique du terme, mais les universités et les gouvernements reconnaissaient ma pensée stratégique et ma défense de l'humanisme. On m'a décerné des doctorats honorifiques, bien que je ne les aie jamais demandés.
Comment as-tu commencé ta carrière ou ton emploi principal ?
J'ai débuté comme officier dans l'armée française, me distinguant lors de la Première Guerre mondiale et dans la défense militaire avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.
Que se passait-il au Mexique quand vous êtes né ?
À ma naissance, on a proposé la réélection indéfinie du président de la République au Mexique et on a approuvé la Loi Régulatrice de l'Éducation, qui visait à établir une éducation laïque, gratuite et obligatoire.
Il y a eu un événement important dans votre enfance qui vous a marqué ?
Rien de particulièrement marquant ne s’est produit durant mon enfance.
Quelle a été votre plus grande réussite ou contribution à l’humanité ?
J’ai dirigé la résistance française contre l’occupation nazie et j’ai établi la Cinquième République, qui a apporté la stabilité politique à la France.
Avez-vous remporté des prix, des médailles ou des reconnaissances ?
Oui, j’ai reçu de nombreuses décorations militaires et distinctions, y compris la Grande Croix de la Légion d’Honneur.
As-tu écrit des livres, des essais ou des lettres importants ?
Oui, j’ai écrit des livres et construit ma pensée. Mes Mémoires de guerre sont un testament politique et moral. J’écrivais comme quelqu’un qui veut laisser une contribuation importante mondiale.
Qui était le président du Mexique quand vous êtes né ?
Quand je suis né, le président était Porfirio Díaz Mori.
Dans quelles écoles avez-vous étudié ?
J’ai fréquenté le Collège Stanislas, où la discipline catholique se mêlait à la littérature, puis j’ai franchi les portes de Saint-Cyr, berceau des futurs généraux français.
Qu’avez-vous inventé, découvert ou créé ?
J’ai créé le mouvement de la France Libre et j’ai joué un rôle clé dans la fondation de la Cinquième République française.
Quelles institutions, récompenses ou lieux portent aujourd’hui votre nom ?
L'aéroport de la France porte mon nome, et je suis honoré d’avoir donné mon nom à l’Institut Charles de Gaulle, dédié aux études politiques et diplomatiques.
Quelle(s) langue(s) parlais-tu ?
Apart le français, que je maîtrisais avec une élégance quasi littéraire, je parlais couramment l’anglais et l’allemand.
Comment était la technologie au Mexique quand vous êtes né ?
À ma naissance, les progrès technologiques concernaient l’électricité, avec les centrales électriques et l’éclairage public, ainsi que l’expansion du chemin de fer et du télégraphe.
Quand et où êtes-vous mort ?
J’ai fermé les yeux à jamais le 9 novembre 1970, dans mon refuge de Colombey-les-Deux-Églises, loin du bruit du pouvoir que je connaissais si bien.
Quel a été votre plus grand obstacle professionnel ?
Ma plus grande difficulté professionnelle a été la défaite initiale de la France lors de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que le manque de reconnaissance de mon leadership au début.
Comment étiez-vous perçu par la société à l’époque ?
J’étais admiré comme un héros national, mais j’étais également critiqué pour mon style autoritaire et mes décisions controversées.
Quelles matières t'intéressaient le plus ?
Là où d'autres voyaient des dates, je trouvais un destin. J’étais passionné par l’histoire, la stratégie et les humanités ; pas comme des curiosités, mais comme des outils pour imaginer l’avenir de ma nation.
Que se passait-il au Mexique quand vous êtes décédé ?
L’événement le plus important qui s’est produit après ma mort a été la catastrophe d’Apollo 13 en 1970.
À quelles difficultés ou défis personnels avez-vous été confronté ?
J’ai été confronté à plusieurs défis personnels majeurs Par exemple, en 1940, après avoir lancé l’appel du 18 juin depuis Londres, j’ai été rejeté par le gouvernement français de Vichy et considéré comme un traître.
J'ai été exilé à Londres et j’ai été en désaccord avec les Alliés, notamment Churchill et Roosevelt, sur la place et le rôle de la France durant la guerre.
Quel héritage avez-vous laissé dans votre domaine ?
J’ai laissé un modèle de leadership nationaliste, une France indépendante en politique internationale et une constitution durable.
Cela a-t-il contribué à améliorer la vie d’autres personnes ? Comment avez-vous fait cela ?
Oui, j’ai reconstruit la structure politique de la France, et favorisé la modernisation industrielle et technologique en soutenant le développement du programme nucléaire français, ce qui a représenté un avance stratégique importante pour le pays.
T’es-tu marié ou as-tu eu un partenaire ?
Oui, j’ai eu une épouse : elle s’appelait Yvonne Vendroux.
Quels événements culturels ou sociaux importants se déroulaient au Mexique à cette époque ?
L’événement le plus important survenu durant cette période fut la Révolution mexicaine (1910-1920).